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Brouillon de site international d’affiches anarchistes. Nous testons d’abord avec un premier fonds d’archives — celui du CDA antérieur à 1998 — puis (...)
Articles
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Le travail est un crime
8 avril — Belgique , Bruxelles = Brussels, [aaaa ?] date incertaine , travail, emploi , 2014, françaistexte
photo (émeutier ? dans une rue vide)
Le travail est le plus grand affront et la plus grande humiliation que l'humanité ait commis contre elle-même.
Le travail est la grande malédiction. Il produit des hommes sans esprit et sans âme.
Quand nous cesserons de travailler, enfin la vie commencera pour nous.
Le travail est un crime
Je ne prétends pas qu'il faut tout simplement quitter son patron demain et voir ensuite comment bouffer sans travailler, en étant convaincu que la vie commence. Si on est contraint de vivre dans la dèche, c'est déjà assez malheureux, le fait de ne pas travailler aboutissant dès lors, dans la plupart des cas, à vivre sur le dos des camarades qui ont du travail. Si tu es capable de gagner ta vie en pillant et en volant - comme disent les honnêtes citoyens - sans te faire exploiter par un patron, eh bien, vas-y ; mais ne crois pas pour autant que le grand problème soit résolu. Le travail est un mal social. Cette société est ennemie de la vie et c'est seulement en la détruisant, puis toutes les sociétés de labeur qui suivront - c'est-à-dire en faisant révolution sur révolution - que le travail disparaîtra.
C'est alors seulement que viendra la vie - la vie pleine et riche - où chacun sera amené, par ses purs instincts, à créer.
Créer est une joie intense, travailler est une souffrance intense.
Tout travail est criminel.
Travailler c'est collaborer à faire des bénéfices et à exploiter ; c'est collaborer à la falsification, à la fourberie, à l'empoisonnement ; c'est collaborer aux préparatifs de guerre ; c'est collaborer à l'assassinat de toute l'humanité.
Le travail détruit la vie.
Voilà pourquoi nous allons saboter consciemment chaque entreprise capitaliste. Chaque patron essuiera des pertes par notre fait. Là, où nous, jeunes révoltés, sommes obligés de travailler, les matières premières, les machines et les produits seront obligatoirement mis hors d'usage. À chaque instant les dents sauteront de l'engrenage, les couteaux et les ciseaux casseront, les outils les plus indispensables disparaîtront - et nous nous communiquerons nos recettes et nos moyens.
Nous ne voulons pas crever à cause du capitalisme : voilà pourquoi le capitalisme doit crever à cause de nous.
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Soirée de soutien Contre les prisons pour immigré-e-s et toutes les formes d’enfermements !
8 avril — Belgique , prison , Bruxelles = Brussels, deux , noir , papier blanc , mouton , brun , texte en défonce , art : musique , émigration et immigration , mégaphone — porte-voix 🔈, spectacle, concert, fête… , 2014, Getting the Voice Out, graphiste à retrouver, benefiet - collecte de fonds, françaistexte
dessin (mouton posant sa tête sur le dos d'un chien qui avale un oiseau)
Soirée de soutien à Getting the Voice Out
Vendredi 25 avril 2014
À la Parfumerie en face de l'arrêt de tram : porte de Ninove, Bruxelles
Bouffe populaire
Prix libreContre les prisons pour immigré-e-s et toutes les formes d'enfermements !
19 h - présentation de Getting The Voice Out et discussion
Concerts
20 h - Barbazmari, jazz éthiopien
21 h - Mòlo Sâyat, folk acoustique apatride
22 h 30 - Cop On Fire, dub, ska, punk
0 h 00 - DJ No Border
www.gettingthevoiceout.org [logo avec oiseaux à tête de mégaphone] — Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
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De werkelijke crisis is het dagelijks leven : vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij
8 avril — A cerclé (A encerclé) Ⓐ, prison , deux , noir , papier blanc , vert , liberté , soumission , barbelés , vie_ quotidienne , [aaaa & ante], 2015, néerlandaistexte
photo (Steve McQueen, en moto, franchissant des barbelés)
De werkelijke crisis is het dagelijks leven
De zogenaamde keuzes die we maken, een veilige baan, een huis met hypotheek, een snelle auto en eenmaal per jaar een vakantie naar een exotisch oord om bij te komen van de dagelijkse stress, zijn allemaal vastgerot binnen hetzelfde kader, met de alsmaar toenemende tijdsdruk om zo snel mogelijk al onze taken af te krijgen om daarna te kunnen “genieten van het leven”.
Maar wat valt er te genieten als het hele leven al bepaald is, als we weten dat dit zogenaamde geluk slechts van korte duur is, omdat we morgen onze “vrijheid” weer inruilen voor een slavenbestaan, aan de kettingen van de bazen en het geld ?
Zou je niet liever met opgeheven hoofd weglopen in plaats van ontslagen te worden ? Zou je niet liever je baas in het gezicht spugen wanneer hij je vernedert, in plaats van het gelaten over je heen te laten gaan uit angst je miezerige baantje kwijt te raken ? Waar zijn we eigenlijk bang voor ?
Zolang wij ons als geslagen honden blijven neerleggen bij het leven in een wereld die iedere dag meer de kenmerken van een gevangenis vertoont, en de regels accepteren die ons worden opgedrongen, zal het leven blijven wat het is : een valse werkelijkheid waarin al onze keuzes al voor ons gemaakt zijn.
Onze verlangens treden buiten het veilige kader van de maatschappij, ze gaan er ver voorbij, tot aan een horizon waarvan we nu slechts kunnen dromen. Onze verlangens kunnen niet bevredigd worden door een wereld die uit alle macht probeert ze teniet te doen, een wereld die ons iedere dag meer opsluit binnen haar verstikkende grenzen.
Vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij
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Pour les anarchistes, l’autogestion, ce n’est pas gérer son propre esclavage
8 avril — A cerclé (A encerclé) Ⓐ, autogestion , France , FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), Paris, quadri , [aaaa & ante], 2016texte
montage photo
Pour les anarchistes, l'autogestion
ce n'est pas gérer son propre esclavage,
c'est exproprier le patronat, détruire l'État,
c'est supprimer le profit privé ou d'État, la hiérarchie, le salariat,
c'est décider ensemble des conditions de travail, des types de production,
c'est le moyen de construire une société égalitaire et libertaire.Révolution sociale et libertaire !
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Il y a 1001 raisons de s’attaquer aux prisons
8 avril — prison , France , photocop. , Lille, barreaux de prison , poing & arbre/racines / The hand that will rule the world, 2016, françaistexte
dessin (poing levé avec fenêtre de prison incrustée)
Il y a 1001 raisons de s'attaquer aux prisons
Refus de permission, d'aménagement de peine
Refus de transfert, maintien binée ses proches
Humiliations, violences des matons, isolement
Foulage de gueule, chantage administratif et judiciaire
Privation de soins, d'activités, de sexualité, d'intimité, d'autonomie, de possibilité d'entrevoir un avenir
Conditions de survie dégueulasses, mépris
Racket organisé par l'État et les entreprises de l'enfermement
Privation de liberté
Privation de liberté
Privation de libertéLe 12 sept à Vivonnes, une cinquantaine de détenus se rebellent, détruisant et brûlant un étage d'un bâtiment de la prison. Celle-ci est rendue inutilisable, et les détenus sont transférés le temps des 6 mois de travaux nécessaire.
Le 7 sept a Aiton, plusieurs détenus refusent de remonter de promenade et détruisent du mobilier de la prison
Le 4 sept à Angers, une soixantaine de détenus refusent de remonter de promenade
Le 2 septembre, 6 détenus s'évadent par la fenêtre du centre de rétention de Nimes
Le 29 aout à Dublin (en Irlande). des mineurs enfermés montent sur le toit de leur taule et y mettent le feu, causant d'importants dégâts.À Alençon, en aout à trois reprises. un détenu agresse ses bourreaux et dégrade entièrement sa cellule
À chaque fois, les détenus sont transférés, des "meneurs" sont désignés, jugés, et écopent de lourdes peines de prison.
Solidarité avec les révoltés
À bas toutes les prisons