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Brouillon de site international d’affiches anarchistes. Nous testons d’abord avec un premier fonds d’archives — celui du CDA antérieur à 1998 — puis (...)
Articles
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Bibliothèque anarchiste Libertad
14 avril — lieux — librairies... , Paris, [ca aaaa] date approchée , deux , rouge , noir , édition , conférence, débat… , papier brun , 2012, français , Bibliothèque anarchiste Libertadtexte
logo (flamme s'échappant d'un livre ouvert)
papier brun
Bibliothèque anarchiste Libertad
19, rue Burnouf, 75019 Paris
Permanences tous les mardis de 17 à 20 h
À une époque où les livres comme les humains se voient de plus en plus réduits à la seule dimension marchande, la bibliothèque Libertad se veut un espace où les livres subversifs peuvent circuler sans que l'argent ne soit une barrière. C'est aussi un lieu où se rencontrer et débattre, pour en finir avec un monde mortifère fondé sur des logiques d'exploitation et de domination.
Il y c des permanences les mardis pour emprunter et consulter sur place les livres et les archives de la bibliothèque, ou farfouiller dans l'infokiosque pour trouver tracts, brochures et publications anarchistes et anti-autoritaires. Il y a aussi les jeudis, pour des discussions, rencontres, présentations, débats autour d'une lutte ou d'une révolte, d'une période ou d'un bouquin… autant d'occasions de prendre du recul ou d'approfondir un thème, d'affiner les armes de la critique pour ici et maintenant.
Aller à l'encontre d'un monde atomisant qui voudrait faire de nous des individus sans passé ni avenir, résignés dans des cages qui taisent leur nom, partager expériences et perspectives, sont quelques-uns des possibles lorsque les idées antagonistes peuvent se répondre et s'inscrire dans une certaine continuité.
À chacun de faire vivre cette bibliothèque à l'aune de sa propre conflictualité, de se l'approprier comme un moyen parmi d'autres, loin des programmes à défendre et de la propagande à distiller. Vers une liberté démesurée sans fric ni flics, sans maîtres ni esclaves, parce que tout est toujours possible.
Discussions les jeudis
Programme disponible sur http://bibliothequelibertad.noblogs.org -
Une maxi-prison à Bruxelles ? Pas sur notre résignation !
14 avril — Belgique , prison , Bruxelles = Brussels, [ca aaaa] date approchée , deux , rouge , noir , papier blanc , texte en défonce , contrôle social , insurrectionnalisme , panneau de signalisation routière , 2014, français , Cavale, latexte
filigrane (panneau de danger d'explosion)
Une maxi-prison à Bruxelles ?
Pas sur notre résignation !
« À Haren, au nord de Bruxelles, l'État compte construire une maxi-prison pour enfermer au moins 1200 personnes.
La construction de nouvelles prisons fait partie de l'actuel serrage de vis général.La prison sert avant tout à protéger le pouvoir et les privilégiés ; ce même ordre qui nous étouffe et exploite.
À l'ombre d'une prison, personne ne saura être libre.
Alors, déchaînons-nous et empêchons cette construction. » -
Monstre festival
14 avril — Suisse , Genève, trois , rouge , noir , papier blanc , bleu , sérigr. , édition , 2014, salon, foire , françaistexte
photo (main tenant un foetus)
Monstre festival
Festival indépendant de micro édition
14-15-16 novembre 2014 l'usine Genève
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La police assassine, ni oubli, ni pardon
14 avril — meetings et manifestations , police , France , Lille, insurrectionnalisme , 2014, françaistexte
photo (policiers avec lance-grenades)
La police assassine
ni oubli, ni pardon
Depuis plus d'une semaine, des actions et des manifs ont lieu partout en France et ailleurs suite à la mort de Rémi Fraisse qui manifestait contre la construction d'un barrage à Sievens (Tarn). Cette mort survient après de violentes interventions policières répétées contre des opposants à des projets capitalistes.
Pour défendre l'ordre social, l'État et sa police utilisent de manière systématique du matériel militaire : grenades offensives, tasers, flashballs, lacrymogènes, etc. qui provoquent de plus en plus souvent des blessures graves et des mutilations, parfois la mort.
Dans les quartiers, dans les luttes, en prison et aux frontières la police tue !
Si l'on parle aujourd'hui d'un mort en manif, il ne faut pas oublier que la police, la justice et l'État mutilent et tuent de manière quasi quotidienne et plus discrète dans les rues, dans les prisons, aux frontières — comme à Calais. Ce sont toujours les mêmes qui sont visés : habitant-es des quartiers populaires, précaires, pauvres, personnes en lutte.
Médias et politiques omettent de parler de ces violences policières pour se focaliser sur quelques dégâts matériels lors des révoltes et manifestations. Ils tentent ainsi de diviser et de faire oublier les raisons de la colère alors que la multiplicité des modes d'action fait la force des luttes.
Il faut replacer le meurtre de Rémi dans une histoire longue où la police apparaît très clairement pour ce qu'elle est : un appareil d'État chargé de maintenir l'ordre économique, politique et social (capitaliste, raciste et patriarcal) par l'usage de la violence.
Elle est chargée de dominer, bannir et soumettre les couches sociales qui auraient le plus intérêt à se débarrasser de ce système parce qu'elles en bénéficient le moins.
De Zyed et Bouna (2005, Seine-Saint-Denis) à Lahoucine Ait Omghar (2013 — Pas-de-Calais) et à Rémi Fraisse (2014), nous ne vous oublierons pas !
Manifestation samedi 8 novembre à 18 h, Grand-Place, Lille
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Sabotons leurs projets, détruisons le pouvoir
14 avril — Belgique , Bruxelles = Brussels, trois , rouge , noir , papier blanc , vert , urbanisme , contrôle social , [aaaa & ante], insurrectionnalisme , 2016, françaistexte
photo (vieille femme devant un amas d'autos brulées, en Mai 68 à Paris)
Sabotons leurs projets
Détruisons le pouvoir
Contre les appartements de luxe contre les projets de lofts
Les chantiers se multiplient. Des bâtiments désaffectés et même des zones entières sont transformés en habitations pour riches. L'arrivée de ces nouveaux habitants font augmenter les prix dans tout le quartier, poussant les autres habitants à partir ou à survivre avec encore moins de sous à la fin du mois.Contre le quadrillage du contrôle
Pour attirer les riches couches de la société, ceux-ci doivent pouvoir se sentir en sécurité : plus de patrouilles de flics, plus de caméras de surveillance, plus de commissariats de quartier, plus de contrôle social (par une multiplication des uniformes : rouges, verts, gris, mauves…). Les riches ont aussi intérêt à collaborer avec la répression, demandant toujours plus de contrôle et pouvant être de vraies balances. De plus en plus traversée par ce réseau de contrôle, la ville est en train de prendre la forme d'une prison à ciel ouvert.Contre les projets d'aménagement
Contrats de quartiers, projets de revalorisation… Les façades, les rues, les places sont nettoyées et rendues plus lisses pour accueillir les riches. Le pouvoir nous vante l'aménagement des parcs, des terrains de jeu, comme la création de crèches, de maisons de quartiers, de projets artistiques pour nous faire avaler la pilule. Ils voudraient en plus nous contaminer avec leur idéologie de la propreté et du citoyennisme afin de nous intégrer à leur monde.Nous ne voulons pas d'une vie construite sur le contrôle et le profit
Pour l'insurrection
Bruxelles ?, Belgique ?